Le dimanche 22 juin 2014, les élèves
ont vécu deux journées. Ils se sont successivement mis dans la peau
de sportifs de très haut niveau et de salariés d’agences de
voyages.
Première journée : les
Ὀλυμπιακοὶ Ἀγώνες
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Avant de se lancer dans une compétition
sportive, il est bien sûr nécessaire d’avoir un bon moral. Pour
cela, rien de mieux qu’un coup de fil aux parents. Mais ne nous
méprenons pas : certains ont également pu contacter les
arbitres pour, éventuellement, trouver un accord. En raison de la
faible qualité du réseau téléphonique, la mise sur écoute n’a
pas fonctionné.
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Quels que soient les motifs des appels,
chacun a sa méthode pour entrer en communication avec l’au-delà :
rester statique ou marcher…
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… être debout ou assis.
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Après le constat de la faille de
sécurité indiquée ci-dessus que nous regrettons, il a été
demandé aux athlètes de rendre leurs téléphones.
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Première épreuve : le jeu de la
pomme. Chaque équipe doit engloutir le fruit le plus rapidement
possible. Le jeu se présente sous la forme d’un relai. Manger sans
les mains est sans doute le plus gros pépin qui s’est présenté.
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Juste avant le départ, un coup de
téléphone. Qui est au bout du fil ? Le directeur général des
J.O. Il a annoncé qu’une tentative de fraude avait été découverte.
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Le maintien des Jeux olympiques ne
tenait qu’à un fil, mais la compétition a finalement pu avoir
lieu.
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Pour ce jeu, chacun a sa technique.
Mais on peut relever des éléments similaires, sûrement favorable à
un gain de temps nécessaire dans ce genre de compétition. La remise
en ordre des cheveux en fait partie.
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Il faut retenir son soupir dans la
soupière …
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… puis, en aval, avaler la pomme.
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Des monstres à Sion !
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Pour le jeu suivant, deux représentants
de chaque équipe doivent réaliser un parcours avec une balle de
babyfoot posée sur une cuillère, elle-même tenue en bouche. La
balle, otage du ballotement dû à une musculature insuffisante de la
langue (parfois de bois, au mieux de bœuf, au pire morte) doit
impérativement y rester, sinon, il faut tout recommencer… même si
la victoire ne tient qu’à un fil !
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Il faut maintenir la balle sans la
tenir par la main.
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Ce ne sont pas des bancs d’Anna.
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Pour collecter les dons des athlètes
(évidemment très bien payés) en faveur de la sauvegarde de la
faune de l’île de Batz, nous avons pensé à la case « quête »
dans le budget des ces très coûteux Jeux olympiques.
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L’épreuve qui suit date d’une
époque immémoriale où les Batziens étaient encore tripèdes. La
règle du jeu n’a pas changé.
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Puis, tir à la corde sur végétaux
étalgués.
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C’est dans leurs cordes …
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… car ils en ont plusieurs à leurs
arcs.
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Le public est difficile à supporter.
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Un sport de glisse.
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Époust-soufflant !
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Après toutes ces épreuves, les
athlètes ont pris de la bouteille ...
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… et sont partis en trombe.
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Parfois, des performances inexpliquées
se produisent aux Jeux olympiques, comme l’envol de Laurine.
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Précisons que les Jeux olympiques de
l’île de Batz sont très courus…
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… mais que le grand progrès permis
par ces Jeux olympiques est l’arrivée de l’eau courante.
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Et l’eau est Claire.
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Deuxième journée : les âges
ancestraux forts
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Le matin, fin de la préparation de la
veillée. Les élèves ont carte blanche pour surprendre et
convaincre le jury…
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… qui lui, devra sortir la carte
bleue.
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La table des maths, hier, sert
aujourd’hui de table pour la succession des présentations. C’est
donc une table à repasser.
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Une auréole descend sur sainte Sarah
afin qu’elle nous illumine par son savoir sur l’histoire de la
Bretagne.
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Le jury, lui, jure par tous les saints
qu’il ne se fera pas embobiner.
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Tandis que le saint Dicat est très
puissant …
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… et que le phare saint Tille.
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